Jef Van Staeyen
Ce fut un jour ensoleillé de septembre, quand j’amenai ma fille et quelques-uns de ses amis à La Panne — le père comme chauffeur pour une sortie d’anniversaire à la mer.
En 2006, une excursion m’a inspiré cette histoire. Au sujet de la mer, de ce qu’elle prend, et surtout donne.
(en remerciant les personnages, et Luc Devoldere pour son Latin)
“Il est tout à fait possible de réduire les dépenses publiques”
(… et d’améliorer la qualité de vie)
“La croissance économique ne sert plus à rien”
(… sauf dans les pays en voie de développement)
Transcrites sous une forme légèrement sloganesque, et quelque-peu exagérée, ce sont les conclusions que l’on peut tirer des études réalisées par les épidémiologues britanniques Richard Wilkinson et Kate Pickett, et publiées en 2009 sous le titre “The Spirit Level” (Le niveau à eau), avec comme sous-titre “Why Equality is Better for Everyone”.
Voici une synthèse et exploitation de leur livre, désormais également disponible en langue française (“Pourquoi l’égalité est meilleure pour tous”, éd. Les Petits matins – Institut Veblen – Étopia, octobre 2013), mais sans les dessins qui l’égaient.
Plus d’informations et de débats sont disponibles sur le site >The Equality Trust (Because more equal societies work better for everyone).
Après 20 ans et 58 jours de bons et loyaux services, mais plus de 21 d’abandon, le poste-frontière international et transfrontalier de Rekkem, sur l’autoroute E17 (ou A22 pour les français), se dé-construit.
Le 18 avril 2014, en pleins travaux, il y avait une petite cérémonie, et l’inauguration d’un monument temporaire, une création de l’artiste multimédia Thierry Verbeke. On y rappelait également “les 300 ans du Traité d’Utrecht”.
Le 23 avril 1983 — il y a 31 ans — c’était moi qui me trouvais avec mes meubles et mes affaires sur cette frontière. Des années plus tard, je travaillais avec des amis et des collègues aux projets pour réaménager et rendre plus aimables le poste-frontière et son vaste environnement. Ces projets n’ont pu être réalisés.
>L’Eurometropole, qui a organisé ce petit événement, m’a demandé un bref exposé. Le texte bilingue se trouve ici.
Cet été [2010], les services de la Ville de Grenoble ont réalisé un premier essai de fauche à l’aide d’un broyeur animé par la force de traction d’un cheval…
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