Ce texte complète la série du Voyage en Italie.
Je ne saurais compter le nombre de cloîtres que j’ai vus en quinze jours dans ces quelques villes italiennes. Ou parfois seulement devinés, car fermés aux visiteurs trop curieux dont je suis. Quelquefois plusieurs cloîtres reliés les uns aux autres dans un même couvent ou abbaye.
Avec comme exemplaires les plus remarquables le cloître triangulaire de Sant’Agostino à Gênes (à côté du musée éponyme), et les quatre cloîtres, juxtaposés et superposés, et transparents, de l’abbaye bénédictine de San Paolo à Parme, qui accueille désormais la Pinacoteca Stuard. Un cloître est peut-être la plus belle figure architecturale que je connais. Trouvez ici une petite sélection de photos.
Sant’Agostino à Gênes, sous un ciel gris, et San Paolo à Parme, sous le soleil.
Ce sont des cloîtres très particuliers, mais je pense que dans aucun des deux on ne trouve le repos mental qu’on cherche habituellement dans de tels lieux.
